Suite à un problème de taille, je retranscris texto la déposition prise par les gendarmes, ce à la demande de Mme le Procureur, suite à ma plainte contre X pour omission de porter secours à personne en péril, à savoir ma petite fille Albane
Je me présente de nouveau dans vos locaux afin de poursuivre l'audition commencée samedi matin. Je vous avais décrit les conditions dans lesquelles vivaient mes petits enfants qui étaient avec leur mère à LONGUYON. Nous avions expliqué la situation de 2007 à juillet 2008, où nous nous étions arrêtés. Avant de poursuivre de juillet 2008 à ajourd'hui, je dois ajouter parce que j'avais oublié que j'ai fait appel à un détective en 2007. Ce monsieur confirme dans son rapport après enquête et filatures, que ma fille passe son temps dans les bars, pendant que ses enfants Sébastien et Albane sont enfermés à clés dans l'appartement. Elle passe une grande partie de son temps dans les bars de LONGUYON où elle est une habituée.----------------------------------------------------------
Je ne veux pas non plus oublier de vous parler d'un rapport établi en 2001 par M. Jean-Marie RHEIN, chef de service de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de Meurthe et Moselle. Je sais qu'en 2001, Albane n'était pas née, mais Sébastien était là, et déjà à cette époque ce rapport faisait état du comportement dangereux de ma fille. Corinne envers son entourage et plus particulièrement son fils. Il rapporte également que Mme MILLET Corinne a dépouillé plusieurs personnes, qu'elle est très intelligente et manipulatrice, qu'elle ment en permanence, qu'elle fréquente le milieu de la drogue, qu'elle détruit tout ce qui l'entoure, et fait semblant d'avoir de l'affection pour son fils. Si on prend ce rapport aujourd'hui, maintenant qu'Albane est présente, c'est la même chose, voir en pire, puisque maintenant elle est protégée par la Justice, ce qui la rend encore plus sûre d'elle. Chaque point de ce rapport de 2001 est vérifié aujourd'hui, c'est confirmé par ses deux enfants, elle a dépouillé son amie Melle QUATTROCHIO, elle m'a escroquée en utilisant ma carte bancaire, je vous confirme qu'elle est toujours aussi intelligente et manipulatrice. Comme le précise Mr RHEIN dans son compte rendu, elle est d'après l'expert psychiatre une 'hystérique perverse'. Aujourd'hui encore, elle détruit tout ce qui l'entoure, les photos que je vous remets le prouvent, son appartement est un vrai dépotoir, de la pourriture, de la merde, du vomis partout, elle a détruit ce qui est matériel, mais aussi et surtout mes deux petits enfants.
De juillet 2008 à fin d'année 2008, j'ai continué à transmettre des courriers à Mme le Procureur afin de l'informer de l'évolution de la situation de Sébastien et d'Albane.---------------------------------------------
A partir d'août 2008, ma fille a commencé à faire appel à moi, en fait elle avait besoin d'aide, surtout pour que je paye ses factures, en particulier internet parce qu'elle ne voulait pas qu'on lui coupe le téléphone, le reste c'était pas grave. Si ses enfants ne mangeaient pas, ça ce n'était pas grave, par contre il fallait qu'elle ait ses cigarettes et internet. C'est donc depuis cette date que j'ai eu confirmation que son appartement était un taudis, et que les enfants vivaient un cauchemar. J'ai payé les factures télécom, j'ai fait des courses, je voulais que mes petits enfants aient à manger. Si j'ai accepté de payer, ce n'est pas pour elle, mais pour mes petits enfants, et en plus ça me permettait de pouvoir aller chez elle, je rentrais dans son appartement avec son autorisation, pour l'argent elle acceptait de me laisser rentrer.---------------------------------------
C'est à ces occasions que j'ai pu faire toutes les photos que je vous remets aujourd'hui. Une première série a été réalisée en mars 2009 et la deuxième en juin 2009. Je vous précise tout de suite qu'en mars 2009, les gendarmes de Longuyon ont eux aussi constaté par photos l'état de l'appartement de ma fille Corinne, deux mois plus tard sur mes photos, en jui, on peut constater que rien n'a changé, le vomis d'Albane présent sur les draps et taie d'oreiller de son lit, n'ont pas été changés. La pauvre petite dormait dans son lit avec une taie d'oreiller pleine de vomis, mais aussi dans un lit plein de merde et de pisse, je vous rappelle que ma petite fille ne portait jamais de couches, sa mère ne lui en payait pas. Sa mère touchait 400 Euros de la tutelle, et déjà 300 Euros partaient tous les mois pour le téléphone, plus ses cigarettes, faites le compte il ne restait plus rien pour les enfants.-------------------------
Je prenais les photos en cachette de ma fille, mais toujours à des moments où elle me laissait rentrer chez elle, je ne suis jamais rentrée chez elle par effraction. Soit moi, soit mon mari, on accompagnait ma fille faire des courses, et pendant ce temps, celui qui restait à l'appartement faisait des photos.------------
Je tenais aussi à vous parler du chien de ma fille, qu'elle maltraitait comme elle faisait avec ses enfants. Je vous remets une copie du courrier que le responsable de la SPA m'a remis pour confirmer la situation du chien. Je tiens à préciser encore une fois que Mme la Procureur savait aussi pour le chien, je l'en avais informée par courrier, et par la même occasion je lui faisais par de ma surprise concernant le rapport de 'REALISE' de Nancy qui faisait état de la super vie de famille que vivaient ma fille, ses enfants et même le chien cité dans ce rapport, qui d'après eux, même le chien était heureux. On a bien vu ce que ça a donné, puisque le chien s'est fait massacrer quinze jours après, ma fille l'a tabassé, elle ne lui donnait rien à manger ou à boire. Il a réussi à s'enfuir, et il a été récupéré par quelqu'un, je sais aujourd'hui qu'il est vraiment très heureux.
J'ai poursuivi mes courriers en début d'année, et plus le temps passait et plus mon inquiétude augmentait, je voyais les enfants, ils étaient malheureux, pas nourris, c'était horrible.------------------------------------------------------------------
Je voulais que la Justice s'investisse, intervienne et protège comme elle le doit mes petits enfants. J'ai demandé un nouvel entretien avec Mme la Procureur qui me l'a refusée. J'ai donc de nouveau envoyé une lettre détaillée de la situation dans laquelle j'ai retrouvé les enfants lorsque j'ai recommencé à rentrer dans le domicile de ma fille. J'avais oublié de préciser qu'il y a aussi deux chats qui font leurs besoins n'importe où dans l'appartement, sur les lits, les rebords de fenêtre. Entre le 10 et le 15 mars, j'ai envoyé trois nouveaux courriers à Mme la Procureur puisque rien n'avait bougé. C'est à ce moment que j'ai transmis les premières photos. J'ai même appris par la voisine que peu de temps après mes courriers, les gendarmes de Longuyon sont venus faire eux aussi des photos qui ont prouvé que les photos que j'avais transmises avaient bien été faites chez ma fille, que je n'avais pas menti sur la situation critique dans laquelle vivaient Albane et Sébastien.--------------------------------------------
Début avril, j'ai envoyé un nouveau courrier à Mme la Procureur, rappelant de nouveau la situation, mais aussi rappelant ma plainte pour l'escroquerie par carte bancaire. J'ai appris que Mme CHRISTINELLI, l'assistante sociale est venue chez ma fille le 31.03.09, cela a duré une heure, et depuis comme d'habitude rien. Elle s'est laissée endormir par ma fille qui lui a dit qu'elle allait quitter Longuyon pour Tarbes. Dans ce dernier courrier, je demandais encore une fois que ma petite fille me soit confiée. Mon avocat a lui aussi transmis une lettre le 03 avril 2009, pour appuyer mon courrier.--------------------------------
Le 06 avril 2009, Mme la Procureur m'envoyait enfin un courrier positif, qui j'en suis sûr faisait suite aux photos prises par les gendarmes de Longuyon qui confirmaient ce que je dénonçais depuis 2007. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi depuis le 23 mars 2009, lorsque les gendarmes de Longuyon ont constaté et rendu compte à Mme la Procureur des conditions dans lesquelles vivaient Albane et Sébastien, j'aimerais qu'on explique pourquoi Albane n'a pas été retirée immédiatement. Mon avocat ne comprends pas non plus, c'était une situation d'urgence. En fait, je sais pourquoi, c'est parce que la Justice ne veut pas reconnaître leurs torts, et on laisse alors détruire de nouveau une gamine de 33 mois, qui n'a rien demandé à personne que de l'amour. Est-ce que ces gens là savent ce que c'est d'avoir de l'amour pour un enfant?-----------------------------------------------------------------
Le 16 avril 2009, j'ai envoyé une correspondance à Mme RYBEIRON lorsque j'ai appris que c'était elle, le juge pour enfants nommé pour l'assistance éducative. Je lui rappelais les faits concernant Albane, son mode de vie, et aussi les photos transmises. Je lui rappelais aussi que je l'avais déjà prévenue plusieurs fois, par le biais de mon avocat mais qu'elle n'avait rien fait. Elle m'avait répondu en 2007 que tout se passait très bien chez ma fille. Concernant Albane et Sébastien, la situation ne nécessitait aucune mesure d'assistance éducative puisque l'unique enquête menée en mars 2007 a été sanctionnés par une décision de non lieu. En gros que tout allait bien en 2007, et cette enquête vaut pour 2007 mais aussi jusqu'à aujourd'hui, en 2009. Une seule enquête pour trois ans de vie. Mme RYBEIRON avait répondu à mon avocat maître Fittante, en gros que j'emmerdais tous les magistrats, que je les avais faits trop travailler, et maintenant on voit les résultats, ils ont surtout travailler pour détruire des enfants et avoir raison.
Fin avril 2009, j'ai reçu un courrier de Mme Rybeiron qui me disait en gros qu'elle voulait confier ma petite fille à n'importe qui, sauf à moi, sa grand-mère. Je reconnais bien le Juge Rybeiron qui se venge et qui fait payer à une gamine de 33 mois sa méchanceté. C'est plus facile de s'en prendre à une gamine de 33 mois que de s'en prendre à sa grand-mère et elle le sait.
Mon avocat a aussi répondu à Mme Rybeiron en lui faisant par de mes inquiétudes. Il lui expliquait qu'elle n'avait fait réaliser aucune enquête prélable, mais que déjà elle savait qu'elle ne me confierait pas les enfants. Il lui faisait alors remarquer que cela était critiquable aussi bien sur le fond que sur la forme. Il lui rappelait que dans un cas comme celui là, l'entourage proche de l'enfant devait être choisi prioritairement avant 'n'importe qui'.-------------------
Le 08 juin, nous avons décidé avec mon avocat de déposer plainte contre 'X' pour omission de porter secours à personne en péril, puisqu'aucune de mes lettres n'avaient eu de suite, et que la Justice après avoir fait des erreurs pour mon petit fils avait décidé de ne pas bouger. Ce courrier fait l'obet de la présente plainte, c'est d'ailleurs pour cette raison que vous m'avez convoquée.------------------------
Le 11 juin, Sébastien m'appelle et me demande où est sa mère. Je suis descendue à Longuyon, j'ai essayé de comprendre, j'ai discuté avec Sébastien, qui m'a expliqué que la veille, il s'était levé vers midi, sa mère revenait de Briey, elle était seule, Albane était restée à Briey. D'après Sébastien, sa mère n'arrêtait pas de pleurer, je pense que ce n'était pas pour la petite mais plutôt parce qu'elle avait appris qu'elle allait en prison. Sa mère avait dit à Sébastien qu'il ne devait pas me dire qu'Albane avait été placée le mercredi 10 juin.------------------------------------------------------------------
Ensuite, j'ai appris par la voisine, qu'une assistante sociale avec une voiture blanche était venue à huit heures du matin la chercher avec la petite, elles sont parties à Briey, et elle est revenue seule pour midi.-------------------------------
J'étais avec mon petit fils, j'essayais de le rassurer, j'ai supposé que ma fille était en prison, j'en avais confirmation. Je l'ai eu le lendemain matin par une connaissance, qui m'a confié que la petite était placée dans une famille d'accueil et que ma fille était bien à Metz Queuleu. Je suis retournée à Longuyon le vendredi, j'ai expliqué à Sébastien que sa mère était incarcérée, il n'y croyait pas trop, et entretemps une dame du service probatoire a même failli appeler la gendarmerie parce qu'elle avait peur qu'il se suicide. J'ai parlé à cette dame qui était en colère parce que ma fille n'avait même pas prévenu son fils qu'elle allait en prison, elle ne lui a d'ailleurs jamais dit qu'elle avait un bracelet électronique depuis janvier.--------------------------------------------
Le 11 juin, nous avons transmis un nouveau courrier à Mme Rybeiron lui demandant de nous expliquer pour quelles raisons elle avait confié Albane à des inconnus plutôt qu'à un membre de sa famille, mais en connaissant bien Mme Rybeiron, avec son grand courage, elle n'a pu nous répondre puisque nous disions la vérité. J'aimerais avoir une explication, comment le 23 mars 2009, les gendarmes de Longuyon confirmaient la situation de danger dans laquelle se trouvait Albane, où il y aurait du y avoir un retrait immédiat de l'enfant, rien n'a bougé. La situation est devenue bizarement urgente le 10 juin,pour moi parce que ma fille devait être placée en détention le 11. En fait, la situation de vie d'Albane n'inquiétait personne, tout le monde n'en avait rien à foutre qu'elle vive dans la merde et dans la pourriture jusqu'au cou, sans nourriture, sinon elle aurait été placée en mars après les constatations des gendarmes. Si j'ai bien compris en France, on laisse mourir des bébés parce que des magistrats ont décidé de ne pas bouger, et de faire comme si de rien n'était. Et après on voit dans les journaux des enfants qui sont martyrisés et des magistrats qui ont bonne conscience en expliquant qu'il n'était pas au courant de la situation. Ceux de Briey devront trouver une autre excuse, ça fait deux ans et demi que je les préviens. Heureusement que ma fille a été incarcérée, autrement on aurait attendu qu'Albane meurt pour agir.--------
Depuis que ma fille est incarcérée, elle m'a écrit deux lettres dans lequelles elle me réclame des vêtements, des livres, de l'argent, des cigarettes. Pas un bonjour, en fait elle m'ordonne de lui fournir tout ce qu'elle désire. Il est hors de question que je lui donne quoi que ce soit. Je sais qu'elle a aussi écrit à Sébastien, et qu'il ne lui a toujours pas répondu.------------------
Je voudrais faire le point sur la situation d'Albane avant qu'elle soit placée et de Sébastien.--------------------------------
Albane : Elle vivait nue en permannece, dans un appartement dont les volets étaient toujours fermés. Jamais ma fille n'a acheté de couches pour sa fille, d'ailleurs les seules fois où elle en a porté c'est moi qui les ai achetées. Elle faisaient ses besoins sur elle, là où elle se trouvait. A 33 mois, elle paraît n'avoir que 14 mois. Elle ne parle pas, je pense par un manque d'amour. Elle n'est pas nourrie comme elle le devrait, elle n'a aucun suivi médical, elle n'a jamais été vaccinée. Elle ne la lavait que rarement, elle était sale, je pense qu'il lui est arrivé de manger les crottes du chat qui étaient sur le rebord de sa fenêtre. La pauvre petite ne sortait quasiment jamais de l'appartement, et lorsqu'elle le faisait, les sorties étaient de courte durée.------------------------
Sébastien : Sébastien a pour sa part 19 ans, il mesure environ 1.70 m., et il est très maigre. Il n'a aucune activité professionnelle ou scolaire, il a arrêté depuis le mois d'avril depuis qu'il est retourné chez sa mère. Il vient de temps en temps chez nous, mais sa mère n'est pas d'accord. Il passe son temps à traîner dans Longuyon, où à rester à la maison pour garder sa soeur. Actuellement, sa mère est en prison, il n'a rien, si la tutelle ne payait pas l'appartement, il serait SDF, heureusement que nous sommes là. S'il était encore mineur on s'occuperait de lui, mais comme il est majeur, tout le monde s'en fout.--------------------------------------------------------------------------------
Je pense que s'il avait encore été mineur, sa mère n'aurait pas été incarcérée tout de suite, ils ont attendu sa majorité. Ils l'ont détruit, lui qui voulait devenir vétérinaire, il en était capable, et il recommence la même chose avec sa soeur.-------------------------------------------------------------------------------
Je vous remets de nombreuses photos de l'appartement de ma fille.---------------
Je ne vous donne pas les copies des courriers que j'ai transmis à Mme la Procureur ou à Mme Rybeiron, je suis sûre qu'elles ont eu toutes mes lettres puisque je les ai toutes envoyées en recommandé avec accusé de réception. Elles ont toutes été réceptionnées.---------------------------------------------------
Je vous confirme que je dépose plainte contre X, pour ommission de porter secours à personne en péril. J'ai reçu l'attestation de dépôt de plainte. J'ai reçu une copie de mon audition.------------------------------------------------------------
mardi 8 décembre 2009
mercredi 18 novembre 2009
Madame le Garde des Sceaux
Par un Jugement du Tgi de Briey de février 2009, j'ai été reconnue coupable et donc condamnée pour avoir caché mon petit fils; estimant qu'il était de mon devoir de le faire par nécessité.
Je fais donc appel de cette décision et me retrouve devant le Procureur Général de la Cour d'Appel de Nancy. Je m'étonnais de l'acharnement de ce dernier à mon égard tel que :"On vous connaît, ...". Ma surprise a encore été plus grande lors de la lecture de l'arrêt rendu. La Cour m'a fait bénéficier d'un casier judiciaire qui n'était pas le mien.
IL FAUT LE FAIRE, C'EST UNE PREMIERE EN FRANCE !!!
De plus, avec le casier judiciaire qui m'a été attribué, je suis encore surprise de la clémence de la Cour qui n'a fait que confirmer le Jugement. Je me vois quand même obligée d'aller en cassation, où j'aurai gain de cause.
MAIS QUI VA PAYER LES FRAIS QUE CELA ENTRAÎNE ???, et déjà avancer l'argent pose un gros problème.
De surcroît, les dysfonctionnements continuent relativement à ma petite fille.
Après l'incarcération de sa mère, la logique aurait voulu que l'enfant soit confiée à ses grands parents.
Contre toute attente, l'enfant a été placée à la DDASS. Cette même Justice, pourtant il y a quelques années en arrière, quand il était question de placer mon petit fils chez nous, nous a jugés 'tiers digne de confiance'.
QU'EST-CE QUI A CHANGE AUJOURD'HUI, NOUS SOMMES TOUJOURS DISPONIBLES ?
D'ailleurs notre petit fils majeur, après 'X' décisions de Justice, de lui-même est revenu chez nous, totalement désarmé pour pouvoir se battre dans la vie quotidienne et active. Et croyez-moi, ce n'était pas une mince affaire de réussir à le rescolariser, et tout cela grâce à la mauvaise grand-mère.
Nous aurions accueilli notre petite fille avec la même conviction et détermination pour mener à bien son éducation. Mais il est vrai, nous avons osé montrer du doigt les dysfonctionnements de l'Institution Judiciaire et faire un Procès à l'Etat. N'est-ce pas cela que nous payons aujourd'hui ?? Il serait sans doute souhaitable de délocaliser toute la procédure.
Je vous interpelle solennement pour que la situation redevienne normale dans l'intérêt d'une petite fille.
La Grand-mère,
**********************************************************
Vu la loi sur la presse, je n'ai pu m'exprimer comme je le voulais dans cette lettre ouverte à Mme le Garde des Sceaux.
C'est pour cela que je m'exprime plus amplement dans ce blog pour vous faire part du CALVAIRE qu'a du endurer mon petit fils depuis son retour en Lorraine et actuellement majeur, mais également ma petite fille âgée actuellement de 3 ans qui n'est toujours pas propre, ne parle pas, se balladait toujours toute nue, ..., suite à l'incompétence de divers Magistrats de Briey qui préfèrent laisser mourrir à petit feu des enfants, que de reconnaître leurs erreurs monumentales.
Voici résumée en quelques lignes mon histoire et surtout celles supportées par mes deux petits enfants.
Après une bataille acharnée avec la Justice de Nanterres, mon petit fils réintègre le domicile de sa mère en Lorraine. Je pensais être tranquille et pouvoir le récupérer très vite, lui qui demandait qu'une seule chose : revenir chez ses grands parents, et retrouver l'amour qu'on lui avait donné auparavant. Mais déjà à cette époque, je me heurte à diverses décisions contradictoires du Tgi de Briey, et surtout du Juge des Enfants.
Par la suite, sachant qu'elle risque d'être incarcérée, ma fille se fait mettre enceinte. Elle cache sa grossesse à son fils et lorsqu'elle doit accoucher, prétexte une excuse. Lorsqu'elle revient à son domicile, mon petit fils est mis devant le fait accompli et n'a pas d'autre choix que d'accepter cette naissance fortuite pour lui. C'est à nouveau la mauvaise grand mère qui doit lui expliquer les choses.
Alors qu'il était scolarisé et était très apprécié de ses professeurs, il devient très vite le souffre douleur de sa mère, devant garder sa petite soeur pendant que sa mère sort et traine les cafés du matin au soir et du soir au matin. Il quitte l'école, côtoie une bande de voyous de sa localité.
Dans la suite des ennuis avec mon petit fils, je me suis permise d'attirer l'attention du Tgi de Briey sur la situation misérable et désastreuse de ma petite fille.
En 2007 par le biais de mon avocat, nous faisons plusieurs signalements d'enfant en danger au Procureur et Juge des enfants de Briey. On me répond qu'il n'y a rien.
Malgré des dénonciations de tierces personnes, tel qu'un professeur de mon petit fils, d'une plainte d'une amie de ma fille que cette dernière a volé sur la précarité dans laquelle doivent vivre mes deux petits enfants au domicile de leur mère, voire le rapport d'un détective privé payé par mes soins et qui démontre que mes deux petits enfants sont enfermés dans l'appartement pendant que leur mère fait les '400 coups' dehors, la Justice de Briey fait la sourde oreille. Pour eux, tout va bien.
En 2007, le Juge pour enfants de Briey va même jusqu'à écrire à mon avocat pour lui faire savoir que j'emmerdais tous les Magistrats de Briey et qu'ils avaient autres choses à faire que de lire mes divers courriers.
Dès lors, je m'interpelle et je vous pose une seule question. Que devaient faire ces Magistrats, sinon détruire une gamine et la laisser mourrir à petit feu dans sa merde, sa pisse et sa détriture.
J'ai continué à écrire en AR au Procureur pour expliquer ce qu'il se passait. Tous mes courriers restaient sans réponse, tout le monde s'en foutait. J'ai à nouveau envoyé deux lettres en AR coup sur coup plus une lettre en AR avec mon Avocat et des photos en couleur en mars 2009. A ce moment, le Procureur se réveille tout de même et demande aux Gendarmes de l'entité de lui faire parvenir des photographies de la situation qui plus est sont en noir et blanc. Les gendarmes ont rendu ses photos au Procureur, malgré qu'elles étaient en noir et blanc. Cela ne les a pas empêchés de constater et de voir la pourriture dans laquelle doit vivre ma petite fille. Les Gendarmes sont repartis normalement.
A ce moment, si le Procureur avait fait son travail consciencieusement, ma petite fille aurait du quitter le domicile de sa mère le jour même.
Pour éviter d'incarcérer ma fille, vu la présence de la petite, elle est placée sous sur surveillance électronique. On est en janvier 2009.
Lors d'un contrôle par le SPIP en date du 02 mars 2009 qui contrôlait ma fille pour le bracelet électronique, un signalement d'enfant en danger est à nouveau introduit par ce service via le Juge des Peines de Briey qui s'empresse d'en faire part au Procureur et au Juge des enfants. A nouveau rien ne bouge.
Le 06 avril 2009, je suis prévenue que le Juge pour Enfants de Briey s'occupe d'une petite fille qui s'avère être ma petite fille. J'interpelle ce dernier par des courriers en lui demandant de pouvoir récupérer celle-ci. Il me répond, tout sauf à la grand mère. Il va même jusqu'à organiser de concert avec le Procureur, le départ de ma fille et ma petite fille pour le sud de la France, près de Tarbes, ... .
Heureusement, grâce au Juge des Peines qui le seul a décidé de prendre ses responsabilités, ma fille est enfin incarcérée. Nous sommes en juin 2009.
Toutefois, il faut trouver une solution pour ma petite fille. Sans nous consulter, le Juge pour Enfants la place à la DDASS. Nous faisons bien entendu appel de cette décision. La Cour d'Appel nous répond que le Juge pour Enfants n'est pas compétent et qu'il faut s'adresser au Juge des Affaires Familiales qui seul est compétent.
En attendant, toutes les décisions prises par le Juge des Enfants, qui pour la Cour d'Appel n'est nullement compétent, restent tout de même valables et d'application.
N'EST-ELLE PAS BELLE NOTRE JUSTICE ???
Comprenez dès lors que nous ayons introduit une plainte contre 'X' pour non assistance à enfant en danger. Suite à celle-ci, le Procureur demande mon audition par un service de Police ou Gendarmerie. Celle-ci durera 09h00' en tout.Bien sûr, étant donné que c'est en fait le Tgi de Briey que nous visons par cette plainte, le Parquet s'empresse de classer celle-ci sans suite sans explications, ni motivations.
Etant donné que je suis dans le collimateur du Tgi de Briey, car toutes les plaintes - lettres - rapports portant le nom de 'MILLET', font l'objet systématique d'un classement sans suite, je me vois dans l'obligation de prévenir une instance supérieure, à savoir le Garde des Sceaux.
De nombreux courriers adressés à celui-ci resteront également 'lettre morte' ou me donnant des réponses inutiles telles que prendre conseil auprès d'avocats de Briey, alors que je suis déjà représentée, et j'en passe bien d'autres éloquantes.
D'où cette lettre ouverte à Mme le Garde des Sceaux.
Tout ce que je souhaite, c'est que toute la procédure soit délocalisée pour ne plus avoir affaire au Tgi de Briey.
Une gamine de trois ans se retrouve à la DDASS sans famille, alors que lorsque nous voulions récupéré notre petit fils, nous avions été désigné par ce même Tgi 'tiers digne de confiance'. Mon petit fils comme il est majeur actuellement, on l'a laissé à son propre sort, tel un SDF. Il n'était nullement armé pour se battre dans la vie actuelle et active. Heureusement que la mauvaise grand mère l'a récupéré pour le rescolariser.
Tout ce que demande mes deux petits enfants et plus précisément ma petite fille qui n'a que 3 ans à la date où je rédige ce blog, c'est un peu d'amour et enfin avoir le sentiment qu'ils sont des victimes d'une Justice qui ne veut nullement reconnaître ses erreurs pour s'en sortir 'TETE HAUTE'.
Chers lecteurs(trices), je suis une grand mère fatiguée, mais qui trouve encore le courage de me battre actuellement devant cette Justice aveugle par votre soutien, qui plus est par de nombreuses personnes qui connaissent le dossier depuis le début.
Merci d'avance aux divers médias qui me suivent depuis de nombreuses années et m'encouragent toujours à l'heure actuelle dans mes diverses démarches et combats.
Merci d'avoir consacrer un peu de votre temps à me lire.
Par un Jugement du Tgi de Briey de février 2009, j'ai été reconnue coupable et donc condamnée pour avoir caché mon petit fils; estimant qu'il était de mon devoir de le faire par nécessité.
Je fais donc appel de cette décision et me retrouve devant le Procureur Général de la Cour d'Appel de Nancy. Je m'étonnais de l'acharnement de ce dernier à mon égard tel que :"On vous connaît, ...". Ma surprise a encore été plus grande lors de la lecture de l'arrêt rendu. La Cour m'a fait bénéficier d'un casier judiciaire qui n'était pas le mien.
IL FAUT LE FAIRE, C'EST UNE PREMIERE EN FRANCE !!!
De plus, avec le casier judiciaire qui m'a été attribué, je suis encore surprise de la clémence de la Cour qui n'a fait que confirmer le Jugement. Je me vois quand même obligée d'aller en cassation, où j'aurai gain de cause.
MAIS QUI VA PAYER LES FRAIS QUE CELA ENTRAÎNE ???, et déjà avancer l'argent pose un gros problème.
De surcroît, les dysfonctionnements continuent relativement à ma petite fille.
Après l'incarcération de sa mère, la logique aurait voulu que l'enfant soit confiée à ses grands parents.
Contre toute attente, l'enfant a été placée à la DDASS. Cette même Justice, pourtant il y a quelques années en arrière, quand il était question de placer mon petit fils chez nous, nous a jugés 'tiers digne de confiance'.
QU'EST-CE QUI A CHANGE AUJOURD'HUI, NOUS SOMMES TOUJOURS DISPONIBLES ?
D'ailleurs notre petit fils majeur, après 'X' décisions de Justice, de lui-même est revenu chez nous, totalement désarmé pour pouvoir se battre dans la vie quotidienne et active. Et croyez-moi, ce n'était pas une mince affaire de réussir à le rescolariser, et tout cela grâce à la mauvaise grand-mère.
Nous aurions accueilli notre petite fille avec la même conviction et détermination pour mener à bien son éducation. Mais il est vrai, nous avons osé montrer du doigt les dysfonctionnements de l'Institution Judiciaire et faire un Procès à l'Etat. N'est-ce pas cela que nous payons aujourd'hui ?? Il serait sans doute souhaitable de délocaliser toute la procédure.
Je vous interpelle solennement pour que la situation redevienne normale dans l'intérêt d'une petite fille.
La Grand-mère,
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Vu la loi sur la presse, je n'ai pu m'exprimer comme je le voulais dans cette lettre ouverte à Mme le Garde des Sceaux.
C'est pour cela que je m'exprime plus amplement dans ce blog pour vous faire part du CALVAIRE qu'a du endurer mon petit fils depuis son retour en Lorraine et actuellement majeur, mais également ma petite fille âgée actuellement de 3 ans qui n'est toujours pas propre, ne parle pas, se balladait toujours toute nue, ..., suite à l'incompétence de divers Magistrats de Briey qui préfèrent laisser mourrir à petit feu des enfants, que de reconnaître leurs erreurs monumentales.
Voici résumée en quelques lignes mon histoire et surtout celles supportées par mes deux petits enfants.
Après une bataille acharnée avec la Justice de Nanterres, mon petit fils réintègre le domicile de sa mère en Lorraine. Je pensais être tranquille et pouvoir le récupérer très vite, lui qui demandait qu'une seule chose : revenir chez ses grands parents, et retrouver l'amour qu'on lui avait donné auparavant. Mais déjà à cette époque, je me heurte à diverses décisions contradictoires du Tgi de Briey, et surtout du Juge des Enfants.
Par la suite, sachant qu'elle risque d'être incarcérée, ma fille se fait mettre enceinte. Elle cache sa grossesse à son fils et lorsqu'elle doit accoucher, prétexte une excuse. Lorsqu'elle revient à son domicile, mon petit fils est mis devant le fait accompli et n'a pas d'autre choix que d'accepter cette naissance fortuite pour lui. C'est à nouveau la mauvaise grand mère qui doit lui expliquer les choses.
Alors qu'il était scolarisé et était très apprécié de ses professeurs, il devient très vite le souffre douleur de sa mère, devant garder sa petite soeur pendant que sa mère sort et traine les cafés du matin au soir et du soir au matin. Il quitte l'école, côtoie une bande de voyous de sa localité.
Dans la suite des ennuis avec mon petit fils, je me suis permise d'attirer l'attention du Tgi de Briey sur la situation misérable et désastreuse de ma petite fille.
En 2007 par le biais de mon avocat, nous faisons plusieurs signalements d'enfant en danger au Procureur et Juge des enfants de Briey. On me répond qu'il n'y a rien.
Malgré des dénonciations de tierces personnes, tel qu'un professeur de mon petit fils, d'une plainte d'une amie de ma fille que cette dernière a volé sur la précarité dans laquelle doivent vivre mes deux petits enfants au domicile de leur mère, voire le rapport d'un détective privé payé par mes soins et qui démontre que mes deux petits enfants sont enfermés dans l'appartement pendant que leur mère fait les '400 coups' dehors, la Justice de Briey fait la sourde oreille. Pour eux, tout va bien.
En 2007, le Juge pour enfants de Briey va même jusqu'à écrire à mon avocat pour lui faire savoir que j'emmerdais tous les Magistrats de Briey et qu'ils avaient autres choses à faire que de lire mes divers courriers.
Dès lors, je m'interpelle et je vous pose une seule question. Que devaient faire ces Magistrats, sinon détruire une gamine et la laisser mourrir à petit feu dans sa merde, sa pisse et sa détriture.
J'ai continué à écrire en AR au Procureur pour expliquer ce qu'il se passait. Tous mes courriers restaient sans réponse, tout le monde s'en foutait. J'ai à nouveau envoyé deux lettres en AR coup sur coup plus une lettre en AR avec mon Avocat et des photos en couleur en mars 2009. A ce moment, le Procureur se réveille tout de même et demande aux Gendarmes de l'entité de lui faire parvenir des photographies de la situation qui plus est sont en noir et blanc. Les gendarmes ont rendu ses photos au Procureur, malgré qu'elles étaient en noir et blanc. Cela ne les a pas empêchés de constater et de voir la pourriture dans laquelle doit vivre ma petite fille. Les Gendarmes sont repartis normalement.
A ce moment, si le Procureur avait fait son travail consciencieusement, ma petite fille aurait du quitter le domicile de sa mère le jour même.
Pour éviter d'incarcérer ma fille, vu la présence de la petite, elle est placée sous sur surveillance électronique. On est en janvier 2009.
Lors d'un contrôle par le SPIP en date du 02 mars 2009 qui contrôlait ma fille pour le bracelet électronique, un signalement d'enfant en danger est à nouveau introduit par ce service via le Juge des Peines de Briey qui s'empresse d'en faire part au Procureur et au Juge des enfants. A nouveau rien ne bouge.
Le 06 avril 2009, je suis prévenue que le Juge pour Enfants de Briey s'occupe d'une petite fille qui s'avère être ma petite fille. J'interpelle ce dernier par des courriers en lui demandant de pouvoir récupérer celle-ci. Il me répond, tout sauf à la grand mère. Il va même jusqu'à organiser de concert avec le Procureur, le départ de ma fille et ma petite fille pour le sud de la France, près de Tarbes, ... .
Heureusement, grâce au Juge des Peines qui le seul a décidé de prendre ses responsabilités, ma fille est enfin incarcérée. Nous sommes en juin 2009.
Toutefois, il faut trouver une solution pour ma petite fille. Sans nous consulter, le Juge pour Enfants la place à la DDASS. Nous faisons bien entendu appel de cette décision. La Cour d'Appel nous répond que le Juge pour Enfants n'est pas compétent et qu'il faut s'adresser au Juge des Affaires Familiales qui seul est compétent.
En attendant, toutes les décisions prises par le Juge des Enfants, qui pour la Cour d'Appel n'est nullement compétent, restent tout de même valables et d'application.
N'EST-ELLE PAS BELLE NOTRE JUSTICE ???
Comprenez dès lors que nous ayons introduit une plainte contre 'X' pour non assistance à enfant en danger. Suite à celle-ci, le Procureur demande mon audition par un service de Police ou Gendarmerie. Celle-ci durera 09h00' en tout.Bien sûr, étant donné que c'est en fait le Tgi de Briey que nous visons par cette plainte, le Parquet s'empresse de classer celle-ci sans suite sans explications, ni motivations.
Etant donné que je suis dans le collimateur du Tgi de Briey, car toutes les plaintes - lettres - rapports portant le nom de 'MILLET', font l'objet systématique d'un classement sans suite, je me vois dans l'obligation de prévenir une instance supérieure, à savoir le Garde des Sceaux.
De nombreux courriers adressés à celui-ci resteront également 'lettre morte' ou me donnant des réponses inutiles telles que prendre conseil auprès d'avocats de Briey, alors que je suis déjà représentée, et j'en passe bien d'autres éloquantes.
D'où cette lettre ouverte à Mme le Garde des Sceaux.
Tout ce que je souhaite, c'est que toute la procédure soit délocalisée pour ne plus avoir affaire au Tgi de Briey.
Une gamine de trois ans se retrouve à la DDASS sans famille, alors que lorsque nous voulions récupéré notre petit fils, nous avions été désigné par ce même Tgi 'tiers digne de confiance'. Mon petit fils comme il est majeur actuellement, on l'a laissé à son propre sort, tel un SDF. Il n'était nullement armé pour se battre dans la vie actuelle et active. Heureusement que la mauvaise grand mère l'a récupéré pour le rescolariser.
Tout ce que demande mes deux petits enfants et plus précisément ma petite fille qui n'a que 3 ans à la date où je rédige ce blog, c'est un peu d'amour et enfin avoir le sentiment qu'ils sont des victimes d'une Justice qui ne veut nullement reconnaître ses erreurs pour s'en sortir 'TETE HAUTE'.
Chers lecteurs(trices), je suis une grand mère fatiguée, mais qui trouve encore le courage de me battre actuellement devant cette Justice aveugle par votre soutien, qui plus est par de nombreuses personnes qui connaissent le dossier depuis le début.
Merci d'avance aux divers médias qui me suivent depuis de nombreuses années et m'encouragent toujours à l'heure actuelle dans mes diverses démarches et combats.
Merci d'avoir consacrer un peu de votre temps à me lire.
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